«Tu sais, on dit que huit victimes sur 10 connaissent son agresseur [...]. La plupart du temps, c'est commis par quelqu'un de ton entourage. Alors c'est ce qui trouble, c'est ce qui installe un long silence aussi, parce que t'aimes l'entourage. Moi, j'aime ses filles, j'aime toute ma famille. Alors je me disais: «Hein, si je le dis, mes frères vont peut-être aller lui casser la gueule. Je ne veux pas qu'ils fassent de la prison pour lui». Ça fait que c'était tout ça, le silence».